mercredi 13 février 2008

Notes en bas de page

Mes meilleurs voeux de bonne fête à ma soeur S., qui célèbre ce vendredi 15 février son 30e anniversaire. N'est-ce pas que nous étions adorables sur cette photo, prise dans un magnifique appartement de Lyon tout de brun décoré?

Chère soeur, que cette année soit riche en projets les plus fous -autres que la pose de céramique ou le tirage de joints!- et qu'elle t'apporte surtout de nombreuses occasions de dépassement.



Dans mon entourage, février est un mois fertile en naissance : on conçoit décidément beaucoup en mai! Un très joyeux anniversaire, donc, à plusieurs de mes proches :

  • AL, qui, je l'espère, émergera le 18 de ses cahiers d'histoire et de ses reportages du Téléjournal pour déguster les si délicieux fudges ou dominos de ses parents.

  • LC, jeune maman que je compte bien visiter avant qu'elle ne vieillisse d'une année le 22 février!

  • mes cousines MHP et GP, qui grandissent en tandem... et en sagesse aussi le 22.

  • sans oublier la petite R qui soufflera sa première bougie le 28 -ouf! elle aurait pu naître le 29...

Ma première activité du 400e

L'Assemblée nationale a concocté une programmation variée à l'occasion des fêtes du 400e anniversaire de la ville de Québec. L'Assemblée m'a surtout permis de participer -enfin!- à ma première activité des célébrations historiques, le lancement d'une édition spéciale des Cahiers annuels de la Société des Dix.


Fondée en 1935, cette société est constituée de chercheurs en sciences humaines (historiens, sociologues, archéologues, ethnologues, etc.), tous aussi brillants que passionnés par leur discipline. J'ai la chance de côtoyer régulièrement l'un de ces 10, sans doute le plus humble et le plus généreux de ses connaissances (!), mon collègue et ami historien et bibliothécaire à la Bibliothèque de l'Assemblée, Gilles Gallichan.


Chaque année, la Société des Dix publie des Cahiers portant sur divers sujets. Le numéro de cette année en est un spécial puisqu'il est consacré au 400e anniversaire de notre capitale.


Si, sur papier dans ce 61e numéro, Gilles "fait la lumière sur des débats entourant la désignation, pour un temps, de Québec comme capitale du Canada-Uni", entre 1840 et 1867, il a encore une fois démontré, jeudi dernier, ses talents de communicateur en nous racontant comment la perte du statut de capitale de Québec à cette époque a donné naissance à l'expression encore employée de nos jours de "vieille capitale". Une expression démodée, voire quétaine, pense Gilles, dont je vous invite à écouter la courte conférence qui a séduit tous les participants, y compris le maire Régis Labeaume!


On peut notammer se procurer le plus récent numéro des Cahiers des Dix à la Librairie Laliberté, située à la Pyramide de Sainte-Foy, ou le commander en ligne.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'y étais à cette conférence et Gilles a fait, une fois de plus, preuve de son grand talent oratoire. C'était intéressant, rafraîchissant, amusant même!

Cher Raph, même si je ne commente pas souvent, je te lis tous les jours. Ne t'arrête pas en si bon chemin.

Sophie